Le Journal du dimanche persiste et signe. Ce 18 décembre, l'hebdomadaire publie de nouvelles révélations sur Michel Polnareff, qui a quitté jeudi l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine où il avait été admis pour une embolie pulmonaire. Des révélations qui contrediraient les informations données par ses proches.
Selon le JDD, la star a rejoint "un palace de la région parisienne" dans la foulée de sa sortie de l'hôpital. "Lors de ses premiers jours dans cet hôtel, le chanteur a été aperçu dans une attitude peu conforme à la description inquiétante livrée par son entourage", souligne le journal, qui ajoute que Michel Polnareff a bu du champagne.
Annonçant qu'il n'était plus hospitalisé, son médecin Philippe Siou avait pourtant expliqué que l'interprète de "La Poupée qui fait non" était "en mauvais état". "Il est parti en convalescence, il est très fatigué", assurait-il le 16 décembre sur BFMTV.
Mais l'intéressé ne voit pas où est le paradoxe, comme il l'a fait savoir sur Twitter. "Et oui, j'ai fêté ma sortie de l'hôpital et mon début de convalescence avec une coupe, quel problème?", a-t-il réagi. "Quand on a failli mourir!", a-t-il renchéri avant d'assurer que "l'alcool ne peut pas déclencher une embolie pulmonaire".
Par ailleurs, le Journal du dimanche écrit que le dossier médical de Michel Polnareff serait incomplet: "aucune IRM ni angiographie, aucun scanner thoracique ni radio pulmonaire (seuls examens susceptibles d'attester l'existence d'une embolie) n'ont été versés", à en croire le journal.
Michel Polnareff s'en est amusé avec un petit jeu de mot, en réponse à un tweet de Closer qui relayait cette information:
Dans une enquête publiée dimanche 11 décembre, le JDD affirmait déjà que les annonces alarmantes sur l'état de santé de Michel Polnareff pourraient avoir "servi à légitimer l'annulation de deux concerts", version fermement contestée par son médecin et par le chanteur lui-même, qui lui a apporté son soutien sur Facebook.
L'hebdomadaire se fait l'écho des doutes émis par Gilbert Coullier, organisateur de la tournée de Michel Polnareff, selon lequel son hospitalisation a été "instrumentalisée".