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Vendredi 13 janvier, France 3 proposera une soirée Dalida avec La Discographie et LA FEMME QUI RÊVAIT D'UNE AUTRE SCÈNE

Vendredi 13 janvier, France 3 proposera une soirée Dalida avec La Discographie et LA FEMME QUI RÊVAIT D'UNE AUTRE SCÈNE

Vendredi 13 janvier, France 3 proposera une soirée Dalida avec deux documentaires.

à 20h55 DALIDA, LA DISCOGRAPHIE

Réalisé par Humbert Ibach

Plus qu’une vedette aux succès populaires, Dalida s’est hissée au rang d’icône internationale tout au long d’une carrière extraordinaire rythmée de tubes légendaires inscrits pour toujours dans la mémoire collective,

A l’occasion du trentième anniversaire de sa disparition, nous célébrons la mémoire de cette artiste de légende à travers un portrait musical.

Nous retracerons la carrière d'une Dalida flamboyante et glamour à travers tous ses succès emblématiques.

Dalida s'illustrait dans tous les genres et sur toutes les époques musicales de « Monday, Tuesday », en passant par « J’attendrai », « Besame mucho », « Lambeth walk » ou encore « Il faut danser reggae ». Mais aussi dans un répertoire plus mélancolique comme les reflets
de sa propre vie « Pour ne pas vivre seul », « A ma manière », « Il venait d’avoir 18 ans », « Téléphonez-moi ».

Un portrait émouvant, touchant et authentique telle que le fut Dalida.

Puis à 22h00 DALIDA, LA FEMME QUI RÊVAIT D'UNE AUTRE SCÈNE

Un documentaire de Gérard Miller et Anaïs Feuillette

Le 3 mai 1987, à 54 ans, Dalida s'est donné la mort.

Juste avant de mourir, elle griffonna sur une feuille de papier ces quelques mots : "La vie m’est insupportable. Pardonnez-moi." Puis elle s’installa sur son lit et, un verre d’alcool à la main pour augmenter l’effet des médicaments, elle avala les cachets qu’elle avait soigneusement préparés. Quand elle eut terminé, elle éteignit sa lampe de chevet et à la différence de tous les autres soirs, elle s’endormit sans laisser une lumière allumée, comme si pour la première fois de sa vie, elle n’avait plus peur de l’obscurité.

Saluée tout au long de sa carrière comme la réussite la plus foudroyante de l’histoire du music-hall, l’artiste la plus populaire, la chanteuse la plus programmée, imaginait-elle alors, Dalida, que ses chansons, mais aussi bien cette vie qui lui était devenue insupportable, avaient quelque chose de si particulier que trente ans plus tard, elle survivrait à sa propre disparition ?

"Eclatante et sombre", selon les mots de son amie Line Renaud qui témoigne dans le documentaire de Gérard Miller et Anaïs Feuillette aux côtés d’une quinzaine d’autres témoins (Orlando, Serge Lama, Bertrand Delanoë, Liza Azuelos, Jean Sobieski, David Lelait-Helo, et
Rosy Gigliotti - cousine et secrétaire de Dalida...), Dalida doutait sans cesse d’elle-même, et sa vie amoureuse comme sa vie professionnelle lui laissèrent toujours un sentiment d’inachevé.

"Avec le métier que je fais, qui pourrait s’attacher à moi pour de bon ?", résuma-t-elle un jour dans une interview, ajoutant un peu plus tard, après avoir chanté devant des milliers de spectateurs enthousiastes et pensé mourir étouffée par la foule : "Le succès a parfois quelque chose de terrifiant."

S’intéressant au destin exceptionnel de celle qui devint à 20 ans une vedette, à 30 ans une star et à 40 ans une icône, le documentaire de Gérard Miller et Anaïs Feuillette retrace pas à pas le parcours de Dalida et, éclairé par un regard freudien, permet de comprendre la logique d’une femme qui ne renonça jamais à poursuivre le chemin de son désir.

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