Rédigé par Ryad Ouslimani / RTL et publié depuis
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L'affaire Penelope Fillon n'en finit pas de créer des remous à droite. Dans la tourmente des soupçons concernant un éventuel emploi fictif de son épouse, François Fillon a indiqué jeudi 26 janvier sur TF1 qu'il n'avait rien à se reprocher, et qu'il laissait la justice faire la lumière dans cette affaire. Le candidat de la droite à l'élection présidentielle a même indiqué qu'il démissionnerait s'il était mis en examen. Un cas de figure qui a posé la question de son successeur en cas de désistement.
Finaliste de la primaire, nettement battu, le maire de Bordeaux, Alain Juppé (Les Républicains), a exclu vendredi "clairement et définitivement" d'être un recours dans l'éventualité d'un retrait de François Fillon. Pressé de dire s'il serait un recours dans le cas où M. Fillon serait mis en examen et se retirerait de la campagne, comme il l'a indiqué jeudi soir sur TF1, M. Juppé a répondu: "non, clairement et définitivement. Parce que la primaire a eu lieu et que les électeurs se sont prononcés".
L'affaire Penelope Fillon n'en finit pas de créer des remous à droite. Dans la tourmente des soupçons concernant un éventuel emploi fictif de son épouse, François Fillon a indiqué jeudi 26 j...
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