Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Les Infos Videos

Le meilleur des Infos et des videos du moment. Retrouvez toutes les news 24h/24 et 7j/7.

Sébas­tien Roch (Cri-Cri d'amour) nous présente sa femme rencon­trée sur Face­book et ses enfants

A 44 ans, si Sébas­tien Roch conti­nue d'inter­pré­ter son person­nage du beau gosse dans «Les Mystères de L'Amour», il est surtout devenu un produc­teur de musique élec­tro­nique averti et un père de famille épanoui. En exclu­si­vité pour Gala, «Cri Cri D'amour» nous reçoit dans le sud entouré de Florence, sa compagne, et de ses deux enfants, Roberto, 14 ans, et Liv, la petite dernière de deux ans.
 
«Cri Cri d'amour» a bien grandi. Pour toute une géné­ra­tion de télé­spec­ta­trices, Sébas­tien Roch reste pour­tant Chris­tian, le beau brun téné­breux de « Hélène et les garçons ». 25 ans ont passé depuis le succès de la série et bien qu'il ait repris depuis 2011 son rôle phare dans la suite «Les Mystères de l'Amour», le dimanche sur TMC, Sébas­tien Roch a une autre vie, entre le sud et Paris. Notre entre­tien en Camargue, «une région que j'ai décou­verte enfant lorsque je passais mes vacances en Camargue avec mes parents. Je l'ai redé­cou­verte en 2 009 quand j'ai rencon­tré Florence, la femme qui partage ma vie aujourd'hui. Florence est origi­naire du Lubé­ron, son père possède un restau­rant sur la plage aux Saintes Maries de la mer. »
 
Gala: Vous vivez à Paris avec votre fils Roberto, alors que Florence et Liv, votre fille, vivent dans le Lubé­ron. Pourquoi?
 
Sébas­tien Roch: Depuis la nais­sance de Liv, la ques­tion de quit­ter Paris s'est posée. Florence subis­sait la vie pari­sienne. Elle ne s'est jamais vrai­ment sentie à son aise à Paris. Elle avait envie de calme, de nature, pour Liv notam­ment, de retrou­ver une vie proche de ses parents. Les atten­tats du 13 novembre ont été violents pour nous car nous habi­tions à quelques mètres d'un bar qui a été attaqué par les terro­ristes. Mais cela a toujours été notre projet de partir habi­ter dans le sud. Et pour moi, évidem­ment, l'idée est de la rejoindre à terme. En atten­dant, nous nous voyons au mini­mum tous les 15 jours et pendant les vacances. Je reste à Paris pour le travail et pour mon fils. La mère de Roberto vit aussi à Paris.
 
Gala: L'éloi­gne­ment, c'est la réus­site de votre couple, selon vous?
 
Sébas­tien Roch: Il faut savoir écou­ter les gens. Florence est plus épanouie depuis qu'elle habite le sud. Elle se sent mieux, elle est moins stres­sée. Et puis, je crois que le manque c'est aussi l'adré­na­line de l'amour. Nos retrou­vailles sont bien festives.
 
Gala: Vous souve­nez-vous de votre première rencontre ?
 
Sébas­tien Roch: J'ai rencon­tré Flo, ma compagne sur Face­book. Elle m'a demandé en ami et j'ai été immé­dia­te­ment touché par son regard. Nous sommes ensemble pour de belles et bonnes raisons. Nous ne sommes pas sur des failles, sur des appa­ren­ces… On se tire vers le haut, on se valo­rise, on s'admi­re… Flo ne se gène pas parfois pour me reca­drer et me remettre à ma place. A la maison comme dans ma famille, je ne suis pas une vedette. J'ai été élevé dans le sud ouest par des parents qui ont des valeurs. On est franc du collier, on ne minaude pas. On mange, on boit, on travaille.
 
Gala : Quel genre de papa êtes vous?
 
Sébas­tien Roch: Avec Roberto qui a 14 ans, on partage tous les trucs de mecs. Les concerts, la pétanque, le foot. C'est mon double. Il y a deux ans, nous avons fait un safari en Afrique du Sud. C'était magni­fique. Roberto vit avec moi à Paris. Liv, ma fille de 2 ans et demi, me fend le cœur dès que je la vois. Elle me désarme dès qu'elle me regarde. C'est violent en charge émotion­nelle un enfant. En ce moment, je joue même à la dînette avec elle. J'ai toujours voulu des enfants, construire une famille. Mes enfants, ma famille, c'est ma bous­sole. Sans eux, je me serais peut-être lassé et même perdu.
 
Gala: Comment trou­vez-vous le « Cri Cri d'amour» de l'époque d'«Hélène et les Garçons»?
 
Sébas­tien Roch: Coura­geux, ambi­tieux, passionné. Je voulais abso­lu­ment deve­nir comé­dien. D'un autre côté, j'étais trop aveu­glé par l'idée de la réus­site. Je ne pensais qu'à obte­nir des contrats, je n'arrê­tais pas de travailler. Je crois bien que j'ai été vieux trop tôt. J'ai vite constaté aussi que je devais vivre avec ce person­nage toute ma vie. J'ai fait un tube télé­vi­suel. On corres­pon­dait au premier programme télé low-cost. Cette série appar­tient désor­mais au public.Et pour moi, cela reste du pain béni.
 
L'inté­gra­lité de ce sujet est à retrou­ver dans notre maga­zine Gala (numéro 1233), en vente ce mercredi 25 janvier.
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article