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EN DIRECT - "La liste de candidats aux législatives publiée par En Marche! n'a pas l'assentiment du MoDem" déplore François Bayrou

19h49: François Bayrou, président du MoDem allié à Emmanuel Macron, a indiqué ce soir à l'AFP que la liste de candidats présentée par En Marche ! jeudi n'avait pas "l'assentiment" de son parti.

"Je convoque le bureau politique du MoDem demain (vendredi) soir en souhaitant que dans les heures qui viennent, un mouvement de raison permette des investitures communes dans toutes les circonscriptions comme Emmanuel Macron et moi en sommes convenus depuis le premier jour de notre entente", a déclaré à l'AFP le maire de Pau.

18h30: Manuel Valls a "salué" jeudi dans un communiqué la décision de La République en marche !, le parti d'Emmanuel Macron, de ne pas investir de candidat dans sa circonscription aux législatives, et précisé qu'il s'y présenterait en "homme libre".

 "J'ai pris connaissance du choix d'En Marche ! pour la première circonscription de l'Essonne. Je salue cette décision.

C'est donc en homme libre mais fort d'une identité politique claire, revendiquée, assumée - républicain, progressiste, de gauche - que j'agis", a déclaré l'ex-Premier ministre.

 "J'appelle à se rassembler autour de ma candidature dès le 11 juin tous les réformistes, les progressistes, les républicains, les démocrates, celles et ceux qui à gauche et à droite savent ce que j'ai accompli dans ce territoire comme dans mes responsabilités gouvernementales et qui veulent la réussite du nouveau président de la République", a-t-il poursuivi.

Le secrétaire général de La République en marche !, Richard Ferrand, a annoncé jeudi que le mouvement avait décidé ne pas donner l'investiture du parti d'Emmanuel Macron à Manuel Valls, précisant qu'il ne lui opposerait pas de candidat.

17h45: "Ce que nous voulions, c'est que les législatives soient la campagne de la clarté" affirme François Baroin.

16h53 : Gaspard Gantzer, actuel conseiller en communication de François Hollande, est candidat En Marche en Île-et-Villaine.

16h43: Jean-Luc Mélenchon s'exprime depuis Marseille.

"Il y a la place dans notre pays pour une nouvelle majorité politique et nous avons pour objectif de gagner".

"Il fallait donc que je sois candidat et que j'assume le programme. Trois villes étaient en lice : Lille, Toulouse et Marseille, où nous sommes arrivés en tête" (...) Après avoir délibéré, nous avons estimé que Marseille était la ville où l'on pourrait le mieux se faire entendre".

"Nous sommes tous des parachutés dans la vie (...) Je ne suis pas venu pour Patrick Mennucci."

"Je ne veux pas affaiblir le PS, je veux le remplacer et tourner la page."

15h53: La conférence de presse de "La République en Marche" débute. Richard Ferrand, le secrétaire général de "République en Marche", s'exprime :

"Nous abordons cette étape avec les mêmes principes et les mêmes valeurs que ce que nous avons réalisé depuis plus de 13 mois."

"Je suis très fier de vous présenter celles et ceux qui porteront nos couleurs."

"Un processus de sélection d'une impartialité et rigueur sans précédent dans la 5e République."

"19.000 dossiers de candidatures ont été déposés."

"1.600 entretiens physique ou téléphoniques ont été réalisés."

"Notre objectif est de bâtir une majorité de changement."

"214 candidats sont des hommes, 214 candidats sont des femmes."

"Sur le renouvellement, ce sont 52% des candidats qui sont issus de la société civile."

"Au sens qu'ils n'ont jamais mené de mandats électifs et qu'ils n'exercent aujourd'hui aucun mandat politique."

"93 % des candidats sont en activité, 2% en recherche d'emploi, 4% retraités, 1% étudiants."

"Leur âge moyen est de 46 ans."

"Le candidat le plus jeune a 24 ans, la plus âgée a 72 ans."

"Notre mouvement marche sur deux jambes : le rassemblement et le renouvellement."

"La candidature de Manuel Valls ne remplit pas les critères (...) Cela étant nous devons rassembler (...) A ce stade, nous lui opposons aucun candidat."

"Il n'y aura pas d'accords d'appareils."

Vingt-quatre députés sortants ont été investis par La République en marche et "ce sont des députés socialistes."

"Nous estimons qu'on ne claque pas la porte au nez d'un ex-Premier ministre."

"Il n'y a pas de passe-droit, pas de traitement particulier, mais nous prenons part de la singularité d'un Premier ministre et ne cherchons pas à mener querelle à untel ou untel."

"Des députés du PS ont été retoqués, ils sont nombreux mais je ne vous dirai pas lesquels."

"Emmanuel Macron a été saisi de quelques cas sur lesquels son avis a été requis."

15h50: Le premier Conseil des ministres du gouvernement d'Emmanuel Macron aura lieu mercredi prochain.

14h55: "Il faut attendre, là je suis à Evry, c'est là ma source (...) Je suis engagé sur le terrain, je suis un républicain, un homme de gauche ouvert. Je ne suis pas inquiet", a déclaré Manuel Valls à BFMTV.

14h34: Anne Hidalgo a annoncé sur son compte Twitter qu'elle allait accueillir Emmanuel Macron à l'Hôtel de Ville de Paris, dimanche à 17h.

La maire de la capitale a invité les "Parisiennes et Parisiens à venir nombreux sur le parvis de l’Hôtel de Ville pour participer à cette cérémonie républicaine".

13h24:  François Hollande a assuré qu’il ferait tout dimanche pour que la passation de pouvoir se déroule de manière «simple, claire et amicale» et souhaité que son successeur Emmanuel Macron «puisse réussir son mandat».

«Je suis pour la réussite de mon pays, je souhaite qu’Emmanuel Macron puisse réussir le mandat qui lui a été confié», a déclaré le président sortant dans un aparté avec des journalistes, lors d’une visite du chantier de sa fondation La France s’engage, dans le XIIIe arrondissement de Paris.

Alors qu’on lui demandait dans quel état d’esprit il serait au moment de transmettre les clés de l’Elysée à son ex-ministre, M. Hollande a affirmé son intention de «tout faire pour que ce soit simple, clair et amical». Et de souligner: «je ne passe pas le pouvoir à un opposant politique, c’est quand même plus simple».

«Toutes les informations, y compris les plus sensibles, lui seront données pour qu’il puisse être directement en activité dès l’heure où je lui passerai mon mandat», a aussi assuré le chef de l’Etat sortant.

M. Hollande, qui compte prendre quelques jours de vacances en France après son départ de l’Elysée, a par ailleurs affirmé qu’il n’avait pas «l’intention de commenter les premières décisions» d’Emmanuel Macron.

«Il faut laisser le président prendre ses décisions, assumer ses choix et ne pas apparaître comme un conseiller, un mentor ou, pire encore, la mouche du coche», a-t-il glissé.

11h52: Le chef de file de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, arrivé jeudi à Marseille, où l’annonce de sa future candidature aux législatives fait des vagues depuis mercredi, doit rencontrer dans l’après-midi le maire Les Républicains Jean-Claude Gaudin.

M. Mélenchon, qui est arrivé jeudi matin à Marseille, a rencontré certains des «insoumis» de la ville et a prévu «une visite de courtoisie au maire et au préfet», a précisé son équipe à l’AFP. L’ancien candidat à la présidentielle «a demandé à être reçu par Jean Claude Gaudin, qui a accepté», a-t-on ajouté dans l’entourage du maire.

Jean-Luc Mélenchon organise une conférence de presse à 16H30, avec les autres candidats marseillais de son mouvement.

11h20: Stéphane Le Foll (PS) a affirmé jeudi son intention de «participer à la réussite» du quinquennat d’Emmanuel Macron, insistant cependant sur son attachement au «dialogue social».

«J’ai voté Emmanuel Macron, donc le président qui a été élu, j’ai participé à son élection. Donc je vais participer à la réussite de son quinquennat. C’est pour Emmanuel Macron et c’est pour la France», a déclaré le porte-parole du gouvernement et ministre de l’Agriculture sur BFMTV et RMC.

11h00: Le député Les Républicains de la Drôme Hervé Mariton a annoncé jeudi qu’il ne se représentait pas aux législatives, préférant garder son mandat de maire de Crest et ne voulant pas «tomber dans la routine».

«J’ai choisi la mairie de Crest», qu’il dirige depuis 1995, a-t-il expliqué sur RMC, refusant «de perdre son enracinement».

Hervé Mariton, 58 ans, a été élu député pour la première fois en 1993, puis réélu depuis 2002.

Il s’était notamment présenté à la présidence de l’UMP en 2014. Il avait échoué à recueillir le nombre suffisant de parrainages pour se présenter à la primaire de la droite, en novembre dernier.

Il envisage aussi de travailler dans le privé : «je lance une demande d’emploi (...) tout s’étudie», a-t-il dit, ajoutant que «travailler hors du champ politique, je pense que ça ne fait pas de mal».

M. Mariton passe le relais à Paul Bérard, 33 ans, dont il sera toutefois le suppléant, dans la 3e circonscription de la Drôme.

10h45: Yannick Jadot (EELV) a annoncé jeudi qu’il rejoint le mouvement transpartisan lancé par le socialiste Benoît Hamon, tout en appelant à la «convergence» de «toutes les initiatives», notamment entre ce mouvement et celui d’Anne Hidalgo et Martine Aubry «Dès demain».

A la question «Vous le montez avec Benoît Hamon ce mouvement ?», M. Jadot a répondu «Oui, absolument». «C’est la poursuite de notre plateforme, c’est ce qu’on a décidé ensemble», a expliqué sur LCI l’eurodéputé écologiste, qui s’était rallié au candidat PS pendant la campagne présidentielle.

Le candidat PS éliminé au premier tour à la présidentielle (6,36% des voix) a annoncé mercredi qu’il lancerait le 1er juillet un mouvement «large, transpartisan», afin de «reconstruire la gauche», sans pour autant quitter le Parti socialiste.

08h16: François Baroin a pris la défense de Manuel Valls, ce matin.

"Je pense qu'il y a des règlements de compte entre Macron et Valls (...) qui n'ont rien à voir avec la bienveillance qu'on nous a vendu pendant la campagne", a estimé le chef de file des Républicains sur France 2.

08h01: A huit jours de la fin du dépôt légal des candidatures en préfecture, le 19 mai, le temps presse.

Mais un afflux de CV est arrivé dans la foulée de l'élection de M. Macron, parmi lesquels celui de l'ancien Premier ministre socialiste Manuel Valls qui a annoncé mardi son intention de briguer l'investiture de La République en marche dans son fief de l'Essonne, en région parisienne.

Son offre a jeté le trouble dans son camp qui menace de l'exclure et a parallèlement été fraîchement reçue par le mouvement de M. Macron.

Alors que le parti avait déjà passé en revue quelque 15.000 dossiers remplis en ligne depuis le 19 janvier et que la Commission semblait toucher au but, il faut "étudier cette nouvelle donne", selon un cadre.

07h12: On devait connaître 450 des 577 candidats de La République en marche pour les législatives investis aujourd'hui, mais selon l'équipe Macron, on ne devrait vraisemblablement pas avoir tous les noms.

En cause, quelques dizaines de circonscriptions qui posent problème et sur lesquelles Emmanuel Macron doit trancher personnellement.

L'équipe doit dévoiler jeudi entre 400 et 500 investis au minimum. Jean-Paul Delevoye, en charge des investitures promet 60 voire 70% de renouvellement.

Les candidats qui seront élus en juin seront par ailleurs tenus de participer à la majorité présidentielle en siégeant à l’Assemblée nationale au sein du groupe que LRM y constituera.

Seuls les députés MoDem pourront avoir un groupe parlementaire à part mais ils prendront part à la majorité.

Source JMM

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