André Bercoff réagit sur la plainte de Caroline De Haas contre Dominique Besnehard : "Il ne faut quand même pas dire n'importe quoi"

Ce matin, André Bercoff était l'invité de Jean-Marc Morandini sur le plateau de "Morandini Live" diffusé sur Cnews et Non Stop People. Le journaliste a tenu à exprimer son avis concernant la plainte de Caroline De Haas contre Dominique Besnehard et Jean-Pierre Elkabbach. Le premier avait confié, à la télévision et en direct, avoir "envie de la gifler". "Il n'est pas impossible que vous ne soyez pas le seul", lui avait alors répondu le journaliste.

Pour André Bercoff, qui se dit "plus que féministe", "si Dominique Besnehard avait giflé Caroline De Haas, [il] aurait été le premier à réclamer des sanctions contre" l'homme. "Il ne faut quand même pas dire n'importe quoi", a-t-il précisé.

Revenant sur les dires de la féministe, qui avait estimé qu'un ou deux hommes sur trois étaient des agresseurs, il estime donc, en prenant en compte ces données, qu'il "y a 20 à 25 millions de Français harceleurs ou agresseurs sexuels". "Si c'était vrai, je vous assure que ça se saurait depuis longtemps. Il ne faut pas dire n'importe quoi. Certaines personnes sont dans une telle niche ouatée... Mais où on va ?", se demande le journaliste, extrêmement étonné de la plainte de la féministe.

André Bercoff pense d'ailleurs que Caroline De Haas a porté plainte seulement parce que Dominique Besnehard était en désaccord avec son avis.

Il a également tenu à dénoncer "l'autolobotomisation" de la société. "On ne peut plus rien dire, rien faire. (...) On est un pays de liberté mais quel pays de liberté !", a-t-il lancé.

Pour une fois, je suis d'accord avec A Bercoff, marre de ce politiquement correct...