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Marcel Amont se confie (lui aussi) sur Henri Salvador

Marcel Amont se confie (lui aussi) sur Henri Salvador
Le 9 novembre dernier sur CNews, Fabien LECOEUVRE évoquait les moqueries d'Henri SALVADOR à l'encontre de Johnny HALLYDAY, notamment en 1960, alors qu'il faisait la première partie d'un spectacle de Raymond DEVOS. Mécontente, la veuve de l'interprète de "Jardin d'hiver" met les choses au clair. "C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Ça fait un an que j'entends cette histoire, qui a démarré un an après le décès de Johnny. Et moi quand Johnny est décédé, ma peine était associée à celle des fans. Je me suis tu pendant tout ce temps et je me suis dit : "Ce n'est pas grave, le temps va passer". On arrive à un an de la mort de Johnny, des livres sortent et des histoires ressortent. Je dis stop ! Je travaille tous les jours sur la mémoire d'Henri. Il faut savoir que cette histoire n'a pas existé. En 60, Raymond DEVOS est sur scène à l'Alhambra et en première partie il y a Johnny HALLYDAY qui fait ses débuts. Donc vous imaginez bien qu'en 1960, Henri est au top du top et que si il s'était permis de dire quoique ce soit, dans la presse le lendemain, on en aurait parlé, et ça n'a pas été le cas !" confie Catherine SALVADOR.
 
"Alors certes, Henri SALVADOR se trouvait bien dans la salle, mais il ne s'est strictement rien passé ce jour-là. Circulez donc, il n'y a pas eu de moqueries ce jour-là !".
 
D'autant plus que Marcel AMONT (dont le nouvel album est disponible), a une toute autre vision du chanteur. Parfaitement inverse. Il se confie actuellement sur le sujet, à Frédéric ZEITOUN sur Melody, dans l'émission "Melody de ma vie" : "Je me souviens un jour, je passais à l'Echelle de Jacob, à Paris. Et c'était pas toujours facile. Y'avait une petite estrade, le public était là... il était parfois un peu bruyant dans les cabarets. J'étais un grand admirateur, entre autres, d'Henri SALVADOR, et un soir j'entends : "Ha ha ha" (ndlr : il rit), dans mon tour de chant. Ah... Henri SALVADOR est là, et il m'invite à sa table. Je suis très ému, je le regarde avec infiniment d'admiration, et il me dit : "Toi je vais te dire mon pote, je te donne pas un an pour casser la baraque !". Ce que ça fait du bien ! Et des paroles comme ça, sous cette forme ou sous une autre, je les ai jamais oubliées".
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