Adil Rami n'a pas du tout apprécié le commentaire d'un consultant de RMC à propos de ses confessions sur son burn-out. Dans sa story Instagram, le champion du monde l'a envoyé balader avec des mots très fleuris.
Il y a plus d'un an, Adil Rami s'était déjà complètement lâché lors d'une conférence de presse après une question d'un journaliste sur sa love story avec Pamela Anderson. "Je m'en bats les couilles. Ça ne m'intéresse pas. Je suis là pour parler de Caen. Je n'ai pas à parler de ça. Ça ne m'intéresse pas. Si vous voulez vendre des gossips... Je m'en fous, ne me parlez pas de ça", avait-il balancé. Le défenseur de l'Olympique de Marseille a récidivé et est de nouveau sorti de ses gonds après avoir écouté le consultant de l'émission de RMC, l'After foot, Jonathan MacHardy, le traiter de "clown" à l'antenne et juger ses confessions sur son burn-out.
Dans sa story Instagram, Adil Rami a répliqué violemment et avec des mots très fleuris à l'avis tranché du consultant, qui a réclamé des sanctions à son encontre : "Tiens, ton opinion, tu te la fous dans le cul. Sinon, écoute, je ne dirais pas ton nom, je suis ton meilleur client, pour que tu aies un peu plus de notoriété." Le défenseur de 33 ans a même adressé un doigt d'honneur à Jonathan MacHardy. Une sortie très cash à l'image du personnage.
Sur les ondes de RMC, le consultant de RMC a fait savoir qu'Adil Rami n'avait pas à évoquer publiquement ses difficultés personnelles et les raisons de son début de saison raté : "Adil Rami doit être sanctionné financièrement de ses déclarations et de son comportement indigent. Le mec est populaire parce qu'il a fait 3 blagues cet été mais, sérieusement, c'est plus possible. Pour que l'OM franchisse un pallier, faut se séparer des clowns."
Dans l'interview accordée au Canal Football Club, Adil Rami avait regretté que les gens "soient devenus beaucoup plus exigeants." Celui qui n'a pas joué une seule minute pendant la Coupe du monde a été victime d'un burn-out : "Mon mental a lâché et il me fallait juste du repos." Soutenu par son ami Cyril Hanouna, il explique cette période compliquée par ses "histoires persos" et les maigres vacances accordées par l'OM, soit trois semaines, à son retour de Russie en juillet. "J'ai pas eu le temps de me vider la tête", a conclu Adil Rami.