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Le Fil Actu - Attaque de mosquées en Nouvelle-Zélande : Au moins 49 morts et 20 blessés graves - Un des hommes arrêtés comparaîtra demain pour "meurtres" - La surveillance des lieux de culte renforcée en France

Le Fil Actu - Attaque de mosquées en Nouvelle-Zélande : Au moins 49 morts et 20 blessés graves - Un des hommes arrêtés comparaîtra demain pour "meurtres" - La surveillance des lieux de culte renforcée en France
13h40: La police britannique a annoncé vendredi un renforcement de la surveillance des mosquées du pays, après l'attaque de deux mosquées en Nouvelle-Zélande qui a fait 49 morts.
 
"Aujourd'hui nous allons augmenter les patrouilles autour des mosquées et notre présence auprès de toutes les communautés religieuses, pour donner des conseils sur la manière de protéger les personnes et les locaux", a annoncé le chef de l'antiterrorisme au sein de Scotland Yard, Neil Basu, dans un communiqué. "Nous prenons toutes les formes d'extrémisme très au sérieux", a-t-il ajouté, appelant la population à signaler tout cas de radicalisation.
 
De son côté, le Conseil musulman du Royaume-Uni (MCB), organisation représentative des musulmans britanniques, a demandé au gouvernement d'agir davantage, notamment face à la menace d'extrême droite "contre les musulmans et les autres minorités".
 
"Les attaques terroristes islamophobes ne sont pas nouvelles", a-t-il souligné dans un communiqué.
 
13h00: Le pape François s'est déclaré vendredi "très attristé" par les "actes de violence insensés" contre deux mosquées en Nouvelle-Zélande, exprimant sa "solidarité" avec la communauté musulmane du pays.
 
"Le pape François est très attristé de prendre connaissance de blessés et de morts provoqués par des actes de violence insensés contre deux mosquées à Christchurch, et il assure à tous les Néo-Zélandais, et en particulier à la communauté musulmane, sa solidarité sincère face à ces attaques", selon un télégramme signé par le numéro deux du Vatican, le cardinal Pietro Parolin.
 
12h22: La reine Elizabeth II s'est dite "profondément attristée par l'attaque effroyable" commise contre deux mosquées en Nouvelle-Zélande, dont elle est la cheffe d'Etat, dans un communiqué publié vendredi.
 
"Le Prince Philip et moi-même envoyons nos condoléances aux familles et aux amis des personnes qui ont perdu la vie" dans cette attaque qui a fait 49 morts, a déclaré la reine. "En ce moment tragique, mes pensées et mes prières vont à tous les Néo-Zélandais", a-t-elle ajouté.

12h08: Le point sur ce que l'on sait ce midi :

Quarante-neuf personnes ont été tuées pendant la prière du vendredi dans des attaques contre deux mosquées de la ville néo-zélandaise de Christchurch, selon les autorités, un tireur étant identifié comme un extrémiste de droite australien.

La Première ministre Jacinda Ardern a décrit l'une des "journées les plus sombres" jamais vécues par cette nation du Pacifique Sud réputée paisible après ces attaques, les pires contre des musulmans dans un pays occidental.

Des témoins ont raconté avoir vu des corps ensanglantés. Des enfants et des femmes figureraient parmi les morts. La police a demandé aux gens de ne pas partager "des images extrêmement pénibles" après la mise en ligne d'une vidéo montrant un homme blanc se filmant en train de tirer sur des fidèles dans une mosquée.

"Il est clair qu'on ne peut que décrire cela comme une attaque terroriste", a déclaré Mme Ardern, ajoutant que 20 personnes avaient été grièvement blessées. "Pour ce que nous en savons, (l'attaque) semble avoir été bien planifiée".

Le tireur à l'une des mosquées de Christchurch, localité de l'Ile-du-Sud, était un ressortissant australien, a révélé à Sydney le Premier ministre Scott Morrison, le décrivant comme "un terroriste extrémiste de droite".

Le nombre exact de tireurs n'était pas connu mais Mme Ardern a déclaré que trois hommes étaient en garde à vue. La police a précisé que le tireur avait été inculpé pour meurtres, ajoutant que des engins explosifs improvisés avaient été désarmés par les militaires.

Un Palestinien présent dans l'un des lieux de culte a raconté qu'il avait vu un homme être abattu d'une balle dans la tête.

12h01: Sur Twitter, la maire de Paris, Anne Hidalgo, annonce "[qu']en hommage aux victimes de cet attentat", la Tour Eiffel sera éteinte ce soir, à minuit.

"Au nom des Parisiennes et des Parisiens, et de l’ensemble des élus de Paris, j’adresse mes condoléances au peuple néo-zélandais, aux habitants de et à la communauté musulmane", a-t-elle précisé sur le réseau social.

11h00: La surveillance des lieux de culte en France va être renforcée après l’attaque meurtrière de mosquées en Nouvelle-Zélande, a annoncé Christophe Castaner, vendredi.

Le ministre de l’Intérieur a appelé les préfets «à la plus grande vigilance» et leur a demandé «de renforcer la surveillance des lieux de culte de notre pays», selon un tweet.

«Des patrouilles seront assurées à proximité des espaces confessionnels», a-t-il ajouté sur le réseau social.

M. Castaner a également dénoncé «l’odieuse attaque terroriste» survenue vendredi contre deux mosquées de la ville néo-zélandaise de Christchurch dont le bilan provisoire s’élève à 49 morts.

Dénonçant un «horrible attentat criminel», la Grande Mosquée de Paris appelle dans un communiqué «tous les fidèles, où qu’ils soient, à être vigilants lors de l’accomplissement de leurs devoirs religieux».

«Les musulmans de France sont choqués par cette violence meurtrière qui se manifeste à l’autre bout du monde et prient Dieu que la paix soit préservée dans notre pays», indique le recteur de la Grande Mosquée Dalil Boubakeur dans le communiqué.

«Ce genre de terroristes ne respecte ni les vies humaines, ni les lieux sacrés en commettant une attaque programmée et préméditée», a de son côté réagi Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national contre l’islamophobie et délégué au sein du Conseil français pour le culte musulman (CFCM).

«Cet acte criminel sans précédent perpétué contre des fidèles se rendant à la mosquée pour la grande prière du vendredi nous bouleverse», a-t-il ajouté.

Selon les autorités du pays, un tireur est identifié comme un extrémiste de droite australien.

10h45: Un "manifeste" expliquant les motivations de l'attaque a été publié vendredi matin sur un compte Twitter portant le même nom et la même image profil que la page Facebook ayant diffusé l'attaque en direct.

Intitulé "le Grand remplacement", ce document de 73 pages déclare que le tireur voulait s'en prendre à des musulmans. Le titre semble être une référence à une thèse de l'écrivain français Renaud Camus sur la disparition des "peuples européens", "remplacés" selon lui par des populations non-européennes immigrées, qui connaît une popularité grandissante dans les milieux d'extrême droite.

Dans le manifeste, le tireur dit qu'il est né en Australie dans une famille aux revenus modestes et avoir 28 ans. Il déclare que les moments clé de sa radicalisation furent la défaite de la dirigeante d'extrême droite Marine Le Pen à la présidentielle française de 2017 et une attaque au camion qui fit cinq morts à Stockholm en avril 2017, dont une fillette de 11 ans.

10h15: Le Président français, Emmanuel Macron, vient de réagir sur son compte Twitter :

10h12: Le point sur ce que l'on sait ce matin :

Quarante-neuf personnes ont été tuées pendant la prière du vendredi dans des attaques contre deux mosquées de la ville néo-zélandaise de Christchurch, selon les autorités, un tireur étant identifié comme un extrémiste de droite australien.

La Première ministre Jacinda Ardern a décrit l'une des "journées les plus sombres" jamais vécues par cette nation du Pacifique Sud réputée paisible après ces attaques, les pires contre des musulmans dans un pays occidental.

Des témoins ont raconté avoir vu des corps ensanglantés. Des enfants et des femmes figureraient parmi les morts. La police a demandé aux gens de ne pas partager "des images extrêmement pénibles" après la mise en ligne d'une vidéo montrant un homme blanc se filmant en train de tirer sur des fidèles dans une mosquée.

"Il est clair qu'on ne peut que décrire cela comme une attaque terroriste", a déclaré Mme Ardern, ajoutant que 20 personnes avaient été grièvement blessées. "Pour ce que nous en savons, (l'attaque) semble avoir été bien planifiée".

Le tireur à l'une des mosquées de Christchurch, localité de l'Ile-du-Sud, était un ressortissant australien, a révélé à Sydney le Premier ministre Scott Morrison, le décrivant comme "un terroriste extrémiste de droite".

Le nombre exact de tireurs n'était pas connu mais Mme Ardern a déclaré que trois hommes étaient en garde à vue. La police a précisé que le tireur avait été inculpé pour meurtres, ajoutant que des engins explosifs improvisés avaient été désarmés par les militaires.

Un Palestinien présent dans l'un des lieux de culte a raconté qu'il avait vu un homme être abattu d'une balle dans la tête.

La municipalité a ouvert un téléphone rouge destiné aux parents inquiets d'enfants qui manifestaient non loin contre le dérèglement climatique.

Toutes les écoles de la ville avaient été bouclées. La police avait appelé "tous ceux qui sont présents dans le centre de Christchurch à ne pas descendre dans la rue et à signaler tout comportement suspect". Des bâtiments publics comme la bibliothèque centrale étaient aussi fermés.

L'équipe de cricket du Bangladesh, un sport extrêmement populaire dans ce pays, se rendait dans l'une des mosquées au moment de l'attaque mais aucun des joueurs venus jouer un match en Nouvelle-Zélande n'a été blessé, selon un porte-parole.

"Ils sont en sécurité. Mais ils sont en état de choc. Nous avons demandé à l'équipe de rester confinée dans son hôtel", a-t-il dit à l'AFP.

La Nouvelle-Zélande, pays réputé pour sa faible criminalité, a relevé son niveau d'alerte à la sécurité de bas à élevé.

Par mesure de précaution, l'armée a fait exploser deux sacs qui semblaient abandonnés près d'une garde d'Auckland.

Selon le recensement de 2013, quelque 46.000 personnes s'identifiaient comme musulmanes en Nouvelle-Zélande, soit un peu plus de 1% de la population totale.

En 2017, six fidèles ont été tués dans une mosquée de Québec, au Canada. L'auteur de la fusillade a été condamné à la prison à perpétuité.

09h58: Le ministre de l'Intérieur français, Christophe Castaner, s'est exprimé ce matin sur son compte Twitter :

09h36: La Première ministre norvégienne Erna Solberg a appelé vendredi à lutter contre "toutes les formes d'extrémisme" après l'attaque sanglante contre deux mosquées en Nouvelle-Zélande qui évoque, selon elle, des "liens douloureux" avec les attentats perpétrés par Anders Behring Breivik.

"C'est évidemment extrêmement triste. Ca évoque des liens douloureux avec notre propre expérience le 22 juillet, le moment le plus difficile de l'après-guerre en Norvège", a déclaré Mme Solberg au micro de la chaîne TV2. 

"Cela montre que l'extrémisme prospère encore dans de nombreux endroits", a estimé Mme Solberg. "C'est aussi un signal d'alarme (montrant) que la lutte contre l'extrémisme sous toutes ses formes doit figurer très haut à l'ordre du jour".

Le 22 juillet 2011, l'extrémiste de droite norvégien Anders Behring Breivik avait tué 77 personnes en faisant exploser une bombe contre le siège du gouvernement à Oslo puis en ouvrant le feu sur un rassemblement de la Jeunesse travailliste sur l'île d'Utøya.

Breivik, aujourd'hui âgé de 40 ans, accusait ses victimes de faire le lit du multiculturalisme.

09h06: Quarante-neuf personnes ont été tuées pendant la prière du vendredi dans des attaques contre deux mosquées de la ville néo-zélandaise de Christchurch, selon les autorités, un tireur étant identifié comme un extrémiste de droite australien.

La Première ministre Jacinda Ardern a décrit l'une des "journées les plus sombres" jamais vécues par cette nation du Pacifique Sud réputée paisible après ces attaques, les pires contre des musulmans dans un pays occidental.

08h34: Quarante personnes ont été tuées pendant la prière du vendredi dans des fusillades contre deux mosquées de la ville néo-zélandaise de Christchurch, selon les autorités, un tireur étant identifié comme un extrémiste australien.

Les attaques survenues dans cette localité de l'Ile-du-Sud ont également fait 20 blessés graves, a déclaré la Première ministre Jacinda Ardern. Evoquant l'une des journées "les plus sombres" de cette nation du Pacifique Sud réputée paisible, elle a dénoncé des violences "sans précédent".

Des témoins ont raconté avoir vu des corps ensanglantés. Des enfants et des femmes figureraient parmi les morts. La police a lancé un appel afin de ne pas partager "des images extrêmement pénibles" après la mise en ligne d'une vidéo montrant un homme blanc se filmant en train de tirer sur des fidèles dans une mosquée.

"Il est clair qu'on ne peut que décrire cela comme une attaque terroriste", a déclaré Mme Ardern. "Pour ce que nous en savons, (l'attaque) semble avoir été bien planifiée".

Le tireur à l'une des mosquées était un ressortissant australien, a révélé à Sydney le Premier ministre Scott Morrison, le décrivant comme "un terroriste extrémiste de droite".

Le nombre exact de tireurs n'était pas connu mais Mme Ardern a déclaré que trois hommes étaient en garde à vue. La police a précisé que des engins explosifs improvisés avaient été désarmés par les militaires.

Un Palestinien présent dans l'un des lieux de culte a raconté qu'il avait vu un homme être abattu d'une balle dans la tête.

"J'ai entendu trois coups de feu rapides et après environ dix secondes, ça a recommencé. Cela devait être une arme automatique, personne ne pourrait appuyer sur la gâchette aussi vite", a dit cet homme à l'AFP sous couvert de l'anonymat. "Puis, les gens ont commencé à sortir en courant. Certains étaient couverts de sang".

Des vidéos et des documents circulant sur internet, mais non confirmés officiellement, semblent indiquer que l'assaillant a publié son attaque sur Facebook Live.

L'AFP a étudié ces images, qui ont depuis été retirées. Des journalistes expérimentés dans les techniques de vérification estiment qu'elles sont authentiques.

Un "manifeste" mis en ligne sur des comptes liés à la même page Facebook fait référence aux thèses du "grand remplacement" circulant dans les milieux d'extrême droite et qui théorise la disparition des "peuples européens".

07h28: un premier bilan officiel fait état d'au moins 40 morts selon les dernières infos officielles.

Au moins 40 personnes sont mortes dans les attentats contre des mosquées, annonce la Première ministre néo-zélandaise. La Première Ministre précise également que vingt personnes sont grièvement blessées.

07h08: Le terroriste "est un homme australien d'extrême droite et très violent" affirment les autorités.

07h05: La police annonce avoir désamorcé plusieurs bombes artisanales.

06h53: Plusieurs personnes ont été arrêtées par la police, 3 hommes et une femme.

06h31: La police demande aux habitants de rester chez eux et surtout de ne pas se rendre dans les mosquées de la ville pour l'instant.

06h16: Les dernières images sur place :

06h05: La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a confirmé qu'un suspect de l'attaque visant une mosquée à Christchurch, faisant plusieurs morts, avait été appréhendé. Elle a toutefois mis en garde que d'autres personnes pourraient être impliquées.

"Il est clair que c'est un des jours les plus sombres pour la Nouvelle-Zélande", a déclaré la dirigeante lors d'une brève conférence de presse. "C'est un acte d'une violence extraordinaire sans précédent", a-t-elle décrit. Mme Arden a ajouté que les personnes présentes dans la mosquée étaient vraisemblablement des immigrés.

"La Nouvelle-Zélande est leur maison, ils devraient être en sécurité ici", a-t-elle poursuivi. "Il n'y a pas de place en Nouvelle-Zélande pour la violence extrême".

04h58: De "multiples" personnes ont été tuées lors de fusillades contre deux mosquées de la ville néo-zélandaise de Christchurch durant la prière du vendredi, a déclaré la police, qui a annoncé une arrestation.

"Les décès, pour ce que nous en savons, sont survenus dans deux endroits, une mosquée sur Deans Avenue et une autre mosquée sur Linwood Avene", a déclaré le commissaire Mike Bush. Une personne a été appréhendée, a-t-il dit. Mais les enquêteurs n'étaient pas certains du nombre d'auteurs de ces tirs, qui pourraient être plusieurs.

En ce jour de prière pour les musulmans, la police demande aux fidèles d'éviter les mosquées "partout en Nouvelle-Zélande", a-t-il ajouté. Les médias locaux ont rapporté que jusqu'à six personnes avaient péri et que plusieurs autres avaient été blessées. Un grand périmètre dans cette ville de l'île du Sud a été bouclée par les forces de l'ordre.

"La police répond au maximum de sa capacité pour affronter la situation, mais les risques restent extrêmement élevés", a-t-elle dit dans un communiqué. Au moment de la fusillade, la mosquée Masjid al Noor, sur l'avenue Deans, était remplie de fidèles, dont les membres de l'équipe nationale de cricket du Bangladesh. Ceux-ci sont ressortis indemnes.

Un témoin a raconté au site internet d'information Stuff.co.nz qu'il était en train d'y prier quand il a entendu des tirs. En prenant la fuite, il a vu sa femme morte devant l'édifice religieux. Un autre homme a dit avoir vu des enfants se faire abattre. Un témoin a expliqué à Radio New Zealand qu'il avait entendu des coups de feu et vu quatre personnes gisant au sol, "avec du sang partout". Selon des informations non confirmées, le tireur portait des vêtements d'allure militaire. Le commissaire Bush a expliqué que toutes les écoles de la ville avaient été bouclées.

"La police appelle tous ceux qui sont présents dans le centre de Christchurch à ne pas descendre dans la rue et à signaler tout comportement suspect".

Des bâtiments publics comme la bibliothèque centrale étaient aussi fermés. La municipalité a ouvert une ligne de téléphone d'urgence pour les parents inquiets du sort de leurs enfants, qui participaient à une marche contre le changement climatique non loin de là. "Ne tentez pas de venir chercher vos enfants avant que la police ne dise que les gens peuvent se rendre dans le centre-ville en toute sécurité", a averti la municipalité. Aucune information officielle sur le nombre exact de victimes n'était disponible en fin d'après-midi.

Selon un porte-parole de l'équipe de cricket du Banglasdesh, un sport extrêmement populaire dans ce pays, aucun des joueurs venus jouer un match en Nouvelle-Zélande n'a été blessé. "Ils sont en sécurité. Mais ils sont en état de choc. Nous avons demandé à l'équipe de rester confinée dans son hôtel", a-t-il dit à l'AFP.

Source JMM

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