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Les Mystères de l'Amour - Laure Guibert évoque la longévité d’une aventure née dans les années 90 et ses projets

Depuis 2011, Laure Guibert a repris le rôle de Béné à travers Les Mystères de l’amour sur TMC. Alors que la série vient de fêter son 500e épisode, la comédienne se confie auprès de Toute la Télé sur l’évolution de son personnage. Elle évoque également la longévité d’une aventure née dans les années 90 et ses projets.
 
Le samedi 16 mars, Les Mystères de l’amour ont fêté leur 500e épisode. Que cela vous évoque-t-il ?
 
C’est incroyable ! Quand on a repris en 2011, jamais on ne se saurait douter que ça durerait autant. Le public est toujours au rendez-vous avec régularité et fidélité. Sur huit ans, c’est assez magique ! Nos personnages ont beaucoup évolué. On a énormément bougé au niveau des décors.
 
Depuis Hélène et les garçons en 1992, le succès ne se dément pas. Comment expliquez-vous cette longévité ?
 
La longévité de cette série est liée au groupe de comédiens. On s’est toujours bien entendus. Il y a eu un effet qui a dépassé le simple fait de travailler ensemble. Dans les Antilles (pour Les vacances de l’amour, ndlr), on a soudé des liens. Le succès s’explique aussi par des histoires qui parlent à tout le monde. Les personnages sont assez identifiables. Au bout d’un moment, les téléspectateurs se prennent au jeu. Ils ont envie de suivre les aventures de ces comédiens qu’ils ont connues dans les années 90. Ils ont traversé avec eux des aventures, des histoires... Cela les ramène à une forme de nostalgie. Une tendresse s’est installée pour ces personnages au fil des années.
 
Vous portez Béné depuis 27 ans...
 
J’en parlais avec Jean-Luc Azoulay. Ce n’est pas comme ci on entrait dans la peau d’un personnage. Il nous suit depuis 27 ans. C’est assez étonnant de se dire qu’une grande partie de ma vie a été d’avoir rendez-vous avec Béné. J’ai beaucoup de tendresse pour cette aventure.
 
De nombreuses rediffusions des volets d’Hélène et les garçons aux Mystères de l’amour occupent les grilles de TMC, AB1 et IDF1. Comment expliquez-vous l’attachement de la nouvelle génération à cette aventure née dans les années 90 ?
 
J’ai une fille qui a 18 ans. Elle me dit toujours : « Quelle chance, tu as eu de vivre les années 90. Moi, j’aurai aimé être jeune dans les années 80 ». Ils ont un regard sur ces années-là comme une période beaucoup plus légère et insouciante. Sur le plan artistique, c’était tellement plus lâché et extrême. Vu qu’il n’y avait pas les réseaux sociaux, les gens avaient moins un rapport à l’image. Je pense que les jeunes d’aujourd’hui nous envient ça.
 
A l’image de Manuela Lopez, qui vient de signer son grand retour dans Les Mystères de l’amour, le public reste attaché aux héros d’Hélène et les garçons. Comment l’analysez-vous ?
 
C’est génial ! Personnellement, ça m’a fait plaisir que Manuela Lopez revienne parce qu’on a partagé beaucoup de choses. Aux Antilles, on était proches et après la vie a fait que pendant de longues années on ne s’est pas revus. On se retrouve aujourd’hui sur les plateaux et on repartage des bons moments ensemble. Le public est content de la retrouver, car ça leur rappelle des séquences de leur vie. Le côté clanique de la série a fait rêver les téléspectateurs. Ces potes qui ont d’abord vécu dans une grande maison (dans Le miracle de l’amour, ndlr) ont créé une sorte de famille et cela fait rêver.
 
Parallèlement aux Mystères de l’amour, avez-vous d’autres projets ?
 
En dehors des tournages, j’ai toujours eu une voie plus artistique avec la peinture et le dessin. Je prépare actuellement une exposition sur Paris. Elle aura lieu du vendredi 29 mars au samedi 6 avril au Box 27, situé 27 rue de l’exposition dans le VIIe arrondissement. Le public peut retrouver toutes les informations sur ma page Instagram « laureguibertcreations ».
 
Pour lire l'interview en intégralité :
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