20 Avril 2019
Paris Première diffusera une série de documentaires composée de trois épisodes sur Stalingrad,mercredi 8 mai à partir de 20h50.
20h50 - Stalingrad : Plus un pas en arrière
En juin 1941, les troupes nazies envahissent l'URSS. C'est une « guerre idéologique et raciale » dit Adolf Hitler. Le maréchal Joukov arrête les Allemands aux portes de Moscou. Mais en juillet 1942, le Führer décide de foncer vers le Caucase, où il y a du pétrole. Ville industrielle moderne, Stalingrad est rasée à 80 % en quelques jours de bombardements. Mais le généralissime soviétique et président du Comité d'État à la Défense, Staline, décide de ne pas la faire évacuer. Un seul mot d'ordre : « plus un pas en arrière ».
21h45 - Stalingrad : La ruse des rats
La 62e armée du général Tchouikov résiste dans Stalingrad où demeurent de nombreux civils dans les caves et les usines fortifiées. Pendant dix semaines, elle va coller au plus près des Allemands pour se prémunir des bombardements aériens et des barrages d'artillerie. Des snipers disséminés dans les ruines font tomber des centaines de soldats de la Wehrmacht et font régner la peur. Stalingrad ne peut être ravitaillée qu'en traversant la Volga et reste sous le feu de la Luftwaffe. Les nazis considèrent les Soviétiques comme des rats, qui pourtant leur tiennent tête.
22h45 - Stalingrad : L'heure de la puissance
Staline a laissé la main à des généraux de talent : Joukov et Vassilevski. Ceux-ci ont conçu un vaste plan de contre-offensive tandis que le général Tchouikov résiste dans quelques kilomètres carrés de Stalingrad. En novembre 1942, tout est prêt pour l'opération Uranus. Plus d'un million d'hommes soutenus par plus de mille tanks, ainsi que l'aviation et l'artillerie, s'élancent à travers la steppe glacée. Le 22 novembre, les Soviétiques encerclent les quelque 300 000 Allemands et leurs alliés roumains, hongrois, croates et italiens.