Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Les Infos Videos

Le meilleur des Infos et des videos du moment. Retrouvez toutes les news 24h/24 et 7j/7.

L'explosion démographique, un fléau pour la planète

Avec toujours plus d'humains sur la planète, il est illusoire de vouloir lutter contre le réchauffement climatique et la pollution de l'environnement.
 
Il est souvent intéressant de voir avec quel zèle ou quelle arrogance les pseudos spécialistes du réchauffement climatique abordent ce sujet déjà en préparation depuis plus de 50 ans. Les gouvernements qui se sont succédé, tout comme les grandes puissances de ce monde, n’ont absolument rien fait pour endiguer l'explosion démographique pourtant prévisible depuis des décennies.
 
Vouloir nous faire croire aujourd’hui, qu’en nous serrant chaque jour un peu plus la ceinture, nous allons résoudre une partie du problème est une fumisterie. D'ici 2050, nous serons 10 milliards d'humains sur la planète contre 7,5 milliards aujourd'hui. Le niveau de l’eau grimpe rognant un peu plus chaque jour, fonte des glaces oblige, les terres habitables ou cultivables. Les déserts quant à eux gagnent du terrain poussant les populations dans l’impossibilité d’y survivre donc d’y rester.
 
Or que nous disent les gouvernements ? Il faut consommer moins ou consommer mieux et nous restreindre sur nos habitudes. Pour se faire on met en place de nouvelles taxes, de nouveaux impôts en trompe l’oeil, pendant que de façon inexorable la demande mondiale continue de croître, que nos capacités à produire deviennent peu à peu insuffisantes et que nous devons maintenant commencer à choisir entre les terres cultivables et les terres constructibles pour faire face à la demande.
 
Comment espèrent-ils nous faire croire qu’avec une telle évolution et les restrictions mises en place nous ne serons pas dans une impasse avant la fin du siècle ? Car enfin, plus il y a d’êtres humains sur la planète plus la consommation s’accélère, plus les ressources alimentaires diminuent, d’autant comme déjà dit, qu’il y a de moins en moins de terres cultivables et que la pollution continue d’augmenter au rythme de cette démographie. N’oublions pas que chaque être humain consomme, respire, émet des déchets et rejette du CO2.
 
On nous dit que l’on a le droit de procréer sans contrainte. Certes. Mais combien de ceux qui ont des familles nombreuses sont également en capacité de les nourrir, de les loger et de les éduquer sans l’aide des états concernés ? Est-il normal et humain de laisser des populations, des familles, continuer à faire des enfants alors que ceux-ci sont trop souvent dans des situations tragiques ou anorexiques.
 
Comment accepter que des parents, alors que leurs enfants meurent de faim, que les derniers sont pour certains morts nés, continuent malgré tout, de pouvoir procréer, alors qu’ils n’ont aucun moyen de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants, laissant ainsi gîte, couverts et éducation à la charge exclusive de la collectivité, déjà très fortement pressurée par ailleurs. Ou cette montée en puissance, cette dérive à la fois dangereuse et inacceptable sur le plan humain, va-t-elle s’arrêter ?
 
Avec la démographie actuelle et quels que soient les sacrifices que nous pourrons faire nous ne parviendrons pas à inverser la tendance. N’est-il pas temps de prendre des mesures pour endiguer ou contraindre cette inexorable démographie qui finira par nous anéantir.
 
Un autre aspect de cette question est le rejet des gaz à effet de serre.
 
Que proposent les gouvernements pour y remédier ? Les véhicules électriques et la limitation des polluants industriels. Mais curieusement quand on y réfléchit, on se heurte à plusieurs choses. Qu’allons-nous faire des métaux lourds extrêmement polluant et non recyclable que contiennent les batteries de ces véhicules, une fois ces dernières bonnes pour la casse ? Les enterrer comme nos déchets industriels et continuer ainsi à polluer nos sols et les nappes phréatiques ?
 
D’autant que ces quantités non négligeables qui augmenteront avec le temps, finiront par devenir des centaines de millions de produits, qui représenteront de fait, un danger pour la planète. Mais ceux qui sont aux commandes n’étant plus aux affaires à ce moment-là, ne se considèrent déjà plus aujourd’hui comme responsables, laissant comme d’habitude à d’autres le risque d’assumer le poids de leurs erreurs et de leur responsabilité ; mot qu’ils sont a priori bien incapables de comprendre le sens et ce, depuis des décennies, bien qu’on les entende le prononcer à tort et à travers.
 
Les voitures électriques vont faire le bonheur des industriels certes, mais quand à celui de la planète sur le long terme c’est beaucoup moins sûr. D’autant qu’en parallèle navires marchands, poids lourds, avions et autres, qui sont pour beaucoup détaxés, polluent plus à eux seuls pour l’ensemble de la planète, que plusieurs centaines de millions de véhicules. A-t-on des solutions pour eux aussi ? Où va-t-on continuer à nous culpabiliser seuls, en tant que consommateurs, pendant que les industriels vont pouvoir continuer de nous polluer sans réelle contrainte.
 
Comment oblige-t-on les industriels à moins polluer, quand certains, contraint de prendre des mesures, font un chantage à l’emploi en menaçant de délocaliser ? Ou bien encore lorsque des polluants ou des pesticides avérés toxiques mettent plus de 10 ans, voire davantage, avant d’être partiellement interdits (quand ils le sont). La plupart des pays ne pouvant en fonction de leurs intérêts économiques, être sur la même ligne, sont les premiers ennemis des intérêts de leur propre peuple.
 
La vie humaine ne pèse rien en regard de la soif du pouvoir ou de l’argent. Elle n’est comme les emplois dans les entreprises, qu’une variable d’ajustement que l’on utilise en fonction des besoins ou des rentrées fiscales et qui représente quoi qu’il arrive et quels que soient les gouvernements en place, une rentrée financière inépuisable, puisque nous sommes taxables à merci. Les Français quant à eux, éternels dindons d’une farce qui n’a que trop durée, n’ont pratiquement jamais droit à un retour sur investissement.
 
En affaire cela pourrait être considéré comme un délit. Mais en politique, peu importe les décisions prises, puisque quoi qu’il advienne, ils sont, bien que très souvent coupables, rarement jugés responsables. Alors pourquoi les choses évolueraient-elles ?
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article