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Le Fil Actu - Grève surprise à la SNCF - Voici les prévisions de trafic pour Lundi que vient de publier la direction avec une reprise de la circulation de quasiment tous les trains

Le Fil Actu - Grève surprise à la SNCF - Voici les prévisions de trafic pour Lundi que vient de publier la direction avec une reprise de la circulation de quasiment tous les trains

18h34: La SNCF publie à l'instant le trafic SNCF prévu pour demain Lundi 20 Octobre :

TGV : normal

OUIGO : normal

Transilien : normal

Intercités: 2/3 trains, selon les régions

TER : 2/3 trains, selon les régions.

Guillaume Pepy sur France Info : "Pour qu'un droit de retrait soit légitime, il faut qu'il y ait danger grave et imminent, et ce n'est pas le cas. La sécurité, c'est l'obsession des cheminots. (...) Je veux saluer ceux qui ont travaillé ce week-end, n'ont pas compté leurs heures, sont revenus de chez eux.Je veux redire à tous nos usagers que je partage leur peine et je me sens solidaire, car cette grève n'était pas prévisible, et n'a pas respecté la loi sur la grève dans les services publics. Nous n'avons pas pu bâtir un service minimum."

13h02: Sur BFMTV, Jean-Baptiste Djebbari, secrétaire d'Etat aux Transports, annonce une reprise du trafic ferroviaire dès demain. Il avance que ce lundi, on pouvait s'attendre à "un retour progressif à priori à la normale du trafic OuiGo". Le secrétaire d'Etat ajoute que "le trafic transilien sera normal avec une reprise en Normandie et en Bretagne". Il confirme que la justice devra déterminer si le mouvement est légal.

08h00: Voici les prévisions publiées par la SNCF à 8h :

La SNCF prévoit à nouveau un trafic très perturbé ce dimanche.

- TGV : le service est "perturbé", avec, comme samedi, 9 trains sur 10 sur les axes Atlantique et Sud-Est, mais un service normal à l'Est et au Nord. Toutes les infos trafic SNCF à retrouver ici.

- OUIGO : la circulation des trains "reprend progressivement" avec 1 train sur 3. Les usagers reçoivent en principe un email précisant le cas du train qu'ils ont réservé.

- INTERCITES : service "très perturbé", aucun train ne circulant la nuit, et avec seulement 4 circulations sur l'axe Paris-Limoges-Toulouse et 2 circulations sur l'axe Paris-Clermont-Ferrand.

- TER : service "très perturbé", avec 1 train sur 2 en moyenne. Le trafic est cependant normal ou quasi normal dans les régions Sud, Normandie et Hauts-de-France.

- TRANSILIEN : la circulation sera encore perturbée dimanche sur les lignes B (entre Paris et Roissy-CDG), C, H, R et D. Sur le RER D, un seul aller-retour toutes les 90 minutes entre Paris et Melun et entre Paris et Corbeil, un aller-retour par heure entre Paris et Orry-la-Ville. Sur le RER C, le trafic s'annonce "perturbé sur l'ensemble de la ligne"

06h34: Si peu d'informations ont été communiquées sur le dimanche 20 octobre, on sait déjà qu'un train Ouigo sur trois circulera, et que le RER B sera très fortement perturbé. Les informations détaillées sur l'ensemble du réseau seront communiquées à 7h30 le dimanche 20 octobre. 

Dans un tweet, le RER B a annoncé un "trafic très fortement perturbé" pour le dimanche 20 octobre, "entre Gare du Nord et CDG/Mitry". Le tweet précise : "Changement de train nécessaire à Gare du Nord. Trafic normal entre Paris Nord et St Rémy/Robinson."

"On est dans une situation de blocage", résume Didier Mathis, de l'Unsa ferroviaire, pour qui "s'il n'y a pas d'avancée de la part de la direction, on peut supposer que le mouvement va se poursuivre, car le problème de danger n'est pas réglé". Quant à son collègue de SUD-Rail, Julien Troccaz, il juge "difficile de faire des prévisions" quant à la suite du mouvement, car "le droit de retrait est individuel". Mais il estime que le patron de la SNCF et l'exécutif "jouent le pourrissement total" du conflit.

A l'origine du mouvement, un accident survenu mercredi soir, lorsqu'un TER reliant Charleville-Mézières à Reims a percuté un convoi routier exceptionnel coincé sur un passage à niveau à Saint-Pierre-sur-Vence (Ardennes), faisant 11 blessés dont plusieurs hospitalisés, selon la préfecture. Le conducteur, qui a porté secours aux passagers alors qu'il était lui-même blessé, était le seul agent SNCF à bord du train. Dès jeudi et plus encore vendredi et samedi à la prise de service, des agents de conduite et contrôleurs ont fait valoir leur droit de retrait.

Samedi 19 octobre

18h32: Les prévisions de trafic détaillées pour ce dimanche ne seront connues que... dimanche entre 7h30 et 8h. Il n'y aura "pas de retour à la normale", confie à LCI la SNCF, qui ne peut se prononcer sur l'étendue des perturbations attendues pour dimanche.

16h31: Pour que le droit de retrait soit valable, le danger doit donc être "grave" et "imminent". Et c'est ce point que la SNCF conteste : "Les motifs indiqués ne justifient d’aucune manière un arrêt sans préavis et irrégulier du travail. Il n'y a aucun danger grave et imminent dans la circulation des trains", affirme l'entreprise dans un communiqué, évoquant une "grève sans préavis".

SUD-Rail, ainsi que la CGT-Cheminots, FO-Cheminots et la Fgaac-CFDT, contestent le mode d'exploitation "équipement agent seul" qui permet de faire circuler des trains sans contrôleur, évoquant des risques de sécurité pour les voyageurs, alors que selon la direction "il existe depuis des dizaines d'années".

12h34: Le Premier Ministre en visite à la Gare de l'Est évoque "une situation inacceptable et c'est un détournement de la loi !"

De son côté, le Président de la SNCF annonce qu'il va envoyer des mises en demeure aux grévistes qui seront sanctionnés si ils ne reprennent pas le travail.

11h42: Il n'y a "quasiment aucun train" en Auvergne, selon la SNCF, une vingtaine ayant été supprimés, tandis qu'en Rhône-Alpes, la "tendance" est de 1 TER sur 2 et 80% des TGV roulant sur la zone sont en circulation. À Marseille, le trafic des TER était normal en début de matinée, et contrairement à la veille où les quais de la gare Saint-Charles étaient vides à la suite du mouvement social, des TGV et TER prenaient des voyageurs, selon une journaliste de l'AFP. Seul un train en provenance de Narbonne (région Occitanie), un en provenance de Lyon et un TGV vers Dijon-Ville étaient marqués comme supprimés.

10h48: Sur BFM TV, Guillaume Pepy, PDG de la SNCF, s'est exprimé sur le droit de retrait qui depuis vendredi empêche la circulation normale des trains dans toute la France. Pour le patron de la SNCF, ce motif est "illégitime". Il considère que cet arrêt de travail est une grève surprise, ce qui "n'est pas légal". Le dirigeant a annoncé son intention de lancer une action judiciaire sur ce mouvement qu'il considère "illégitime et illégal".

09h41: Les RER A, B et D et les ligne H, J, L et R sont également perturbés :

RER A : trafic perturbé entre La Défense et Poissy et entre La Défense et Cergy le Haut.

RER B : trafic extrêmement perturbé entre Paris Nord et Mitry Claye / Aéroport CDG 2.

Trafic normal entre Paris Nord et Robinson / Saint-Rémy lès Chevreuse.

RER D : quasiment aucun train ne circule sur la ligne.

Ligne H, J et L : trafic perturbé sur l'ensemble de la ligne

Ligne R : Aucun train entre Melun et Montereau via Hericy et entre Moret et Montargis.

Quasiment aucun train entre Paris et Montereau via Moret.

07h21: Après cinq heures de discussions, la direction et les syndicats n'ont pas trouvé de compromis pouvant inciter les conducteurs et contrôleurs à lever leur droit de retrait, exercé après un accident qui a fait plusieurs blessés mercredi 16 octobre, dont un conducteur de train. Les deux parties devraient se voir dans le "courant de la semaine prochaine", a annoncé la direction. D'ici là, elle appelle les conducteurs et contrôleurs à "reprendre au plus vite le travail car ils sont en situation irrégulière", assure-t-elle.

"La situation sera très sensiblement identique" à celle de vendredi, où le réseau TER et certaines lignes franciliennes ont été très perturbées. Aucun train Ouigo ne circule sur l'ensemble du territoire. Les TGV sont affectés dans la région Sud-Est (Lyon, Marseille, Nice, Montpellier) et Atlantique-Ouest (Rennes, Nantes, Bordeaux), avec 9 trains sur 10. Le trafic sera normal dans le Nord et l'Est.

06h11: Cet arrêt de travail fait suite à un accident survenu mercredi soir : un TER reliant Charleville-Mézières à Reims a percuté un convoi routier exceptionnel coincé sur un passage à niveau à Saint-Pierre-sur-Vence (Ardennes). La préfecture des Ardennes indique qu'il y a eu "onze blessés", dont certains ont été hospitalisés. Des agents de conduite et contrôleurs ont fait valoir leur droit de retrait dès jeudi et plus encore vendredi matin, à la prise de service. Le conducteur, blessé et choqué, "a dû porter secours aux passagers car c'était le seul agent SNCF à bord !", a déploré dans un communiqué SUD-Rail.

Ce syndicat, ainsi que la CGT-Cheminots, FO-Cheminots et la Fgaac-CFDT, contestent le mode d'exploitation "équipement agent seul", qui permet de faire circuler des trains sans contrôleur, évoquant des risques de sécurité pour les voyageurs, alors que selon la direction "il existe depuis des dizaines d'années".

De son côté, le secrétaire d'Etat aux Transports Jean-Baptiste Djebbari a déploré une "grève surprise (...) hors du cadre légal". "Le droit de retrait, c'est un droit des travailleurs pour dire : +attention il se passe quelque chose de grave+", a défendu le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez. "On a évité un drame parce qu'il y a un conducteur consciencieux, attaché au service public ferroviaire, qui a bossé. Mais on ne peut pas continuer comme ça", a-t-il dit.

Vendredi 18 octobre

14h13: Le point sur la situation en ce début d'après-midi :

A la veille des vacances scolaires, le trafic SNCF était très perturbé vendredi sur le réseau TER et certaines lignes franciliennes, des conducteurs et contrôleurs faisant valoir leur droit de retrait après un accident ayant fait mercredi plusieurs blessés, dont un conducteur de train.

Une réunion s’est tenue dans la matinée entre la direction et la CGT qui réclame la présence obligatoire d’un contrôleur par train alors que le conducteur accidenté était le seul agent SNCF à bord de son TER, qui circulait en Champagne-Ardenne.

«Cette grève sans préavis est totalement irrégulière», a souligné lors d’une conférence de presse le directeur de la branche TER Franck Lacroix, appelant à «la reprise du service normal».

La SNCF a annoncé une «concertation dans chaque région» dès vendredi matin au sujet des questions de sécurité, doublée d’une concertation nationale à 17H00 et de la tenue à 15H30 du «groupe de travail sur la sécurité» pour «examiner au plus haut niveau ces questions».

A 13H00, la SNCF assurait qu'«un TER sur deux circulait» avec «de fortes disparités selon les régions»: en Occitanie, Nouvelle-Aquitaine et Pays de la Loire notamment, la situation était «très perturbée».

Plus tôt dans la matinée, le secrétaire d’État aux Transports Jean-Baptiste Djebbari indiquait sur BFMTV que le trafic était «très perturbé en régions» avec «25% des TER» environ et même «quasiment aucun train» en Occitanie.

Dans les principales gares, comme à Toulouse-Matabiau, des agents d’assistance SNCF vêtus d’gilet rouge étaient déployés pour orienter des usagers parfois en colère.

«On ne nous prévient de rien, ni sur l’application ni sur internet, je l’ai découvert en arrivant ici», fulminait Saïf, 28 ans, contraint d’envoyer un message en urgence à son patron. Son train pour Labège, près de Toulouse, où il devait se rendre pour une réunion de travail, a été annulé.

En région parisienne, la circulation des RER B et D était très fortement perturbée, de même que celle des Transilien J et R.

«Ce matin le service SNCF n’est pas assuré sur plusieurs lignes franciliennes», a lancé sur Twitter la présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse, avertissant qu'«il ne serait donc pas payé par IDF Mobilités», le syndicat des transports d’Île de France, et déplorant que le mouvement social «plonge dans la détresse des centaines de milliers de voyageurs».

Cet arrêt de travail sans préavis fait suite à un accident mercredi en Champagne-Ardenne, où un TER avait percuté un convoi routier exceptionnel coincé sur un passage à niveau, faisant plusieurs blessés dont le conducteur du train, selon une porte-parole de la SNCF.

La préfecture des Ardennes indique qu’il y a eu «onze blessés», dont certains hospitalisés.

Pour Franck Lacroix, «en aucun cas les voyageurs n’ont été mis en danger» et «rien ne justifie un arrêt sans préavis du travail».

Des agents de conduite et contrôleurs ont fait valoir leur droit de retrait dès jeudi et plus encore vendredi matin à la prise de service. Le conducteur, blessé et choqué, «a dû porter secours aux passagers car c’était le seul agent SNCF à bord !», a déploré dans un communiqué SUD-Rail.

Ce syndicat, ainsi que la CGT-Cheminots, FO-Cheminots et la Fgaac-CFDT, contestent le mode d’exploitation «équipement agent seul», qui permet de faire circuler des trains sans contrôleur, évoquant des risques de sécurité pour les voyageurs, alors que selon la direction «il existe depuis des dizaines d’années».

De son côté, le secrétaire d’État aux Transports a déploré une «grève surprise (...) hors du cadre légal».

Il n’est «pas normal de prendre les usagers à témoin d’une prise de position syndicale sur un dispositif qu’ils contestent», a estimé Jean-Baptiste Djebbari. «Les trois quarts des TER sont exploités seuls à bord», a fait valoir le secrétaire d’État qui y voit «une mesure de conduite homologuée» pratiquée «partout en Europe».

«Le droit de retrait, c’est un droit des travailleurs pour dire : +attention il se passe quelque chose de grave+», a défendu le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, interrogé sur Europe 1. «On a évité un drame parce qu’il y a un conducteur consciencieux, attaché au service public ferroviaire, qui a bossé. Mais on ne peut pas continuer comme ça», a-t-il prévenu.

12h08: La direction dénonce "une grève sans préavis qui n'est pas acceptable".

12h02: Franck Lacroix, le directeur général SNCF-TER, a tenu une conférence de presse :

"On est bien dans une grève qui se passe aujourd'hui sans préavis."

10h13: Dans un communiqué, la fédération CGT des cheminots (1er syndicat de la SNCF) «exige le retour de contrôleurs sur l’ensemble de ces circulations afin de permettre aux agents de conduite de se concentrer uniquement sur la gestion de la sécurité ferroviaire».

«Une des organisations syndicales a fait une demande de concertation immédiate et elle est reçue en ce moment-même par la direction. Le dialogue est installé», a assuré à l’AFP une porte-parole de la SNCF vendredi matin.

09h45: "On n'instrumentalise pas un événement de sécurité pour faire valoir une position politique", a déclaré le député Jean-Baptiste Djebbari sur BFMTV. 

09h25: Le point sur la situation à la SNCF ce matin :

Le trafic ferroviaire était «fortement perturbé» vendredi matin sur le réseau TER et plusieurs lignes d’Île-de-France, dont les RER B et D, de nombreux conducteurs et contrôleurs ayant fait valoir leur droit de retrait après un accident survenu mercredi, a indiqué la SNCF.

La circulation des trains régionaux était particulièrement affectée en Provence-Alpes-Côte d’Azur (tous les TER suspendus), Bretagne (un sur deux), Occitanie ou dans le Grand Est, a précisé la SNCF.

En région parisienne, la circulation des RER B et D était très fortement perturbée, avec interruption de l’interconnexion, de même que celle des Transilien J et R.

Ce mouvement social sans préavis fait suite à un accident mercredi en Champagne-Ardenne, un TER ayant percuté un convoi routier exceptionnel coincé sur un passage à niveau, faisant «trois blessés légers», le conducteur du train et deux passagers, selon une porte-parole de la SNCF.

Le conducteur «a dû porter secours aux passagers car c’était le seul agent SNCF à bord !», a déploré dans un communiqué SUD-Rail.

Ce syndicat, ainsi que la CGT-Cheminots et FO-Cheminots, critiquent le mode d’exploitation «équipement agent seul», qui permet de faire circuler des trains sans contrôleur.

Dans un communiqué, la fédération CGT des cheminots (1er syndicat de la SNCF) «exige le retour de contrôleurs sur l’ensemble de ces circulations afin de permettre aux agents de conduite de se concentrer uniquement sur la gestion de la sécurité ferroviaire».

«Une des organisations syndicales a fait une demande de concertation immédiate et elle est reçue en ce moment-même par la direction. Le dialogue est installé», a assuré à l’AFP une porte-parole de la SNCF vendredi matin.

08h10: De nombreuses perturbations et annulations de trains sont constatés dans les Hauts-de-France, les Pays de la Loire, l'Occitanie, Provence-Alpes-Côte d'Azur, le Grand-Est, la Normandie, le Centre Val-de-Loire, la Bretagne, mais aussi en région parisienne. Aucun train régional (TER) ne circule ce matin dans les Alpes-Maritimes. Plusieurs TER sont supprimés en Occitanie, au départ de Toulouse Matabiau, jour de départ en vacances, et dans les autres régions touchées par la grève.

07h53: Dans l'agglomération parisienne, il faut s'attendre à des perturbations importantes sur les lignes A, B et D du RER, ainsi que sur les transiliens H, J, K, L, N, et R. Le trafic est en revanche fluide sur le RER E. Sur le RER B, le trafic est interrompu entre la Gare du Nord et Châtelet. Pour les personnes qui utilisent le RER D, il est conseillé d'utiliser un transport alternatif. Les départs de trains sont également perturbés en région Haut-de-France, dans les Alpes-Maritimes, en Occitanie ainsi que dans les Pays-de-la-Loire.

07h42: France Bleu évoque déjà des trains supprimés sur la ligne Orléans-Paris alors que La Dépêche craint la suppression de plusieurs TER en gare de Toulouse. En Ile de France, le trafic est fortement perturbé sur le RER B et sur les lignes du Transilien comme la ligne R entre Paris, Melun et Montereau ou les lignes L et J.

07h22: En région parisienne, le trafic est fortement ralenti sur les RER A, B, D, sur les lignes H, J, K, L et R du transilien.

06h50: La circulation des trains est perturbée dans plusieurs régions, ce matin, en raison d'un "mouvement social inopiné", indique la SNCF à franceinfo. Ce mouvement social fait suite à un accident survenu le 16 octobre sur un passage à niveau à Saint-Pierre-sur-Vence (Ardennes), où une collision entre un camion et un TER a fait onze blessés à bord du train.

Des lignes de train de plusieurs régions (dont l'Ile-de-France, le Grand-Est, les Hauts-de-France, l'Occitanie, les Pays de la Loire, la Nouvelle-Aquitaine...) sont concernés par ce mouvement initié par la CGT, qui a appelé ses agents à faire valoir leur droit de retrait.

Source JMM

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